... C’est toi Jean, c’est notre amour pour toi, la douleur de te savoir parti, le besoin de ta présence, qui ont inspiré toutes les pages de ce livre.
Ta vie de chair n’a pas duré. Ma tendresse voudrait t’assurer une vie d’esprit plus durable, jusque dans ce monde de la terre que tu as quitté.
Le récit de ta pure existence enchantera peut-être des âmes jeunes et généreuses comme la tienne. Elles se sentiront enrichies par le spectacle de tes vertus de petit garçon, de ta joie de vivre, de ta ferveur à mourir… Et tu rayonneras dans leur vie, Jean, comme tu rayonnes dans la nôtre…
Bloud et Gay – 1951
Rousseurs sur le premier plat