Avec illustrations hors-texte de Mademoiselle A. du Muraud
A Mademoiselle Germaine Gay-Lussac
Je t’offre ce petit travail, ma chère Germaine, car je l’ai fait en songeant à toi.
Maintenant, il ne me reste qu’à remercier mes aimables collaborateurs ; toi d’abord, qui a bien voulu poser pour le portrait de ma petite Finette, et de tous les oiseaux, habitués fidèles de nos bosquets touffus et de nos grands sapins.
Ils sont passés, à tour de rôle, devant mon instantané ; je les ai pris sur le vif, dans leur insouciante gaîté, et aussi dans leurs rudes travaux. En les étudiant j’ai appris à les aimer.
Je souhaite qu’il en soit de même pour toi, ma chère Germaine, car alors je n’aurais pas perdu ma journée.
Grand’Mère
Limoges – Ducourtieux – 1902
Exemplaire non coupé, couverture salie, intérieur très frais