Lettres établies entre 1878 et 1910
Avec humour l’abbé Huvelin racontait que parti pour Martigny (Vosges) soigner des rhumatismes envahissants, il n’avait pu indiquer comme adresse que “poste restante” ; évidemment il n’avait pas le loisir d’organiser, pour lui-même, quoi que ce soit. Au débarqué il va à la poste où l’employée, avec une certaine inquiétude et un mépris marqué, lui “jette”… une cinquantaine de lettre.
De l’énorme correspondance de direction, une partie a été détruite, une autre, importante, sortira d’archives privées qui se révèlent, puis s’ouvrent avec une généreuse spontanéité…
Editions Saint-Paul – 1964