Textes du Père Maximilien Kolbe
De la cellule où se trouvaient les malheureux, on entendait chaque jour des prières récitées à haute voix, le chapelet.
Mais aussi des chants religieux auxquels les prisonniers des autres cellules se joignaient…
Les prières ferventes et les hymnes à la Vierge se diffusaient dans tout le souterrain.
J’avais l’impression d’être à l’église.
Récit de B. Borgowiec