Avec une préface de Paul Claudel
Jacques Rivière a écrit les pages qu’on va lire pendant sa captivité, au camp de Koenigsbrück ou en représailles à Hülseberg, entre septembre 1914 et juin 1917.
A Koenigsbrück quelques prisonniers : ingénieurs, comptables, libraires, s’étaient groupés autour de lui. Ensemble ils organisèrent, pour lutter contre l’engourdissement cérébral, un cycle de causeries – non pas de vraies conférences, mais plutôt des discussions préparées – où chacun à son tour parlait de ce qu’il connaissait le mieux. Jacques Rivière choisit de leur parler de Dieu.
NRF – 1925
Exemplaire relié