De Chateaubriand à Barrès
La documentation historique indispensable à ces essais d’évocation de l’enfance de quelques écrivains et poètes n’est pas entièrement inédite : on s’en doute, et point n’est besoin d’en avertir les historiens de métier.
Nous pourrions cependant y indiquer plus d’une rechercher personnelle : le carnet de Lamartine vignredon, le palmarès, la Malgrande de Maurice Barrès. Et M. Henri Guillemin nous concède la prétention bien inoffensive pour son prestigieux Jocelyn, à la priorité, pour les extraits que nous donnâmes ici des notes, convervées par les archives de Pierreclos…
1956