“Nous n’avions pas le droit de garder pour nous un tel héritage. Il fallait bien l’offrir aux autres en souhaitant que beaucoup puissent s’en enrichir.”
Cette phrase de Michel Quoist présentant “Cellule 18” situe parfaitement la qualité de cet ouvrage et l’usage qui peut en être fait.
jacques Fesch lemeurtrier devint en prison le “Bon larron du XXe siècle”. C’est son cheminement vers la Lumière, vers l’Essetniel qui se lit à travers les lettres qu’il envoya à sa belle-mère.
C’est un livre tonique qui permet au lecteur et singulièrement à ceux qui ont déjà lu “Lumière sur l’échafaud” de mieux connaître Jacques Fesch et le travail de la Grâce chez un homme venu de loin.
Les Editions Ouvrières – 1980
Très bon état