C’était le premier octobre ; sur toute l’étendue du ciel, l’oeil pouvait sonder les profondeurs azurées sans rencontrer un nuage. L’air était tiède et parfumé comme aux jours de mai, et les derniers insectes, étonnés de vivre encore, se jouaient gaiement dans les rayons du soleil…
Librairie Internationale – 1871