Impressions de théâtre
1921 – 1924
A André Antoine
Souffrez que, sur le premier feuillet de cet ouvrage éphémère, j’inscrive votre nom. L’avenir comprendra mon orgeuil. Qu’il suffise aux contemporains de savoir que ce livre injuste et passionné je le dédié moins aux maître qu’à l’homme, car si nous savons le prix de vos leçons, votre exemple nous trouve insolvables. Si le vieux théâtre est mort, si, dans les capitales des deux mondes, on voit des chercheurs hardis et désintéressés, c’est parce qu’en 1883 il y avait, rue Pétrelle, au bureau de la Compagnie du gaz, un jeune employé qui aimait le théâtre et méprisait l’argent.
H. B.
Les Editions G. Crès et Cie – 1925
Quelques traces d’usures dans le dos, haut de la tête décolé.